À ce stade, il est utile de rappeler quelques chiffres officiels sur la pollution et la qualité de l’air extérieur en France. Il nous faut donc rappeler que les transports représentent 30 % des émissions de CO2 en France. La pollution de l’air est responsable de 48 000 décès par an et représente un taux de mortalité de 9 % à l’échelle du pays. Le coût sanitaire de cette pollution de l’air est estimé, par la Commission d’enquête du Sénat, à près de 100 milliards d’euros par an. Devant de tels chiffres, il devient alors plus qu’important de soutenir le développement de la mobilité douce. Mais comment s’y prendre ?
Comment entretenir les nouveaux moyens de déplacement ?
Si nous partons du principe que les vélos électriques et trottinettes vont peu à peu dominer notre espace urbain, il faudra bien multiplier les points permettant d’entretenir ces nouveaux moyens de déplacement. Il faut savoir que, là encore, des changements sont déjà en cours. En effet, Midas, enseigne traditionnelle de l’entretien automobile, se propose d’apporter ce service.
Quels sont les questions et enjeux de la mobilité douce ?
La mobilité douce est une réponse aux problèmes de mobilité dans le cadre de l’urgence climatique. Avant toute chose, la mobilité douce doit être une réponse systématique en tant qu’alternative à la voiture pour toute notre mobilité urbaine. Si l’on considère que les déplacements professionnels représentent 5,5 millions de trajets par jour en Ile-de-France, il faut trouver des réponses immédiates. Nous n’avons plus de temps à perdre : plus qu’un choix, la mobilité douce doit devenir une nécessité.